Tout sur Stijn Baert

Fin 2021, on dénombrait 485.435 employés, indépendants ou chômeurs qui ne travaillaient plus ou qui ne cherchaient plus de travail depuis plus d'un an pour cause de maladie, soit une augmentation d'un quart en cinq ans, montrent de nouveaux les chiffres de l'Inami rapportés par L'Echo et De Tijd.

Les personnes qui ont fait un burn-out courent davantage de risques d'être licenciées, ressort-il d'une nouvelle étude de l'UGent.

Si 39% de travailleurs estiment que la crise due au coronavirus a un impact négatif sur leur santé mentale, une personne sur trois constate, à l'inverse, un effet positif. C'est ce qu'il ressort d'une étude effectuée par l'Antwerp Management School (AMS), l'Université de Gand et B-Tonic.

Les personnes en burn-out qui retournent travailler pour leur ancien employeur sont moins susceptibles d'être promues. C'est ce qui ressort d'une étude des facultés d'économie et de psychologie de l'université de Gand. "C'est évidemment problématique, car de nombreuses personnes retournent travailler pour leur 'ancien' employeur après leur épuisement professionnel", explique l'économiste du travail Stijn Baert.