Deux Belges sur trois se disent disposés à travailler temporairement ailleurs si le besoin s'en faisait sentir en raison de la crise du coronavirus, par exemple pour donner un coup de pouce dans le secteur des soins, ressort-il d'une enquête menée par l'entreprise de services de ressources humaines Acerta auprès de 2.000 Belges actifs.