Tout sur Georges Gilkinet

Le projet de contrat de gestion de la SNCB est arrivé sur la table du gouvernement, rapportent Le Soir et De Standaard. La société des chemins de fer s'engage notamment à augmenter le nombre de trains de 10% par rapport à aujourd'hui. Le contrat prévoit aussi que la proportion de trains suroccupés ne dépasse plus les 2% de l'offre. Dans 98 trains sur 100, les voyageurs devront donc pouvoir trouver une place assise.

Le suivi des infractions de roulage mineures en Belgique n'est pas optimal. Actuellement, trop de récidivistes passent encore entre les mailles du filet, regrette Vias. L'institut de sécurité routière plaide donc pour l'instauration d'un permis à points semi-automatisé combiné à des sanctions judiciaires à partir d'un certain seuil d'infractions.

La compagnie pharmaceutique Johnson & Johnson a annoncé avoir sélectionné un vaccin-candidat pour le nouveau coronavirus, qui doit être testé sur des humains d'ici septembre et pourrait être prêt à une utilisation d'urgence d'ici le début de l'année prochaine.

La découverte est jugée "exceptionnelle" par les archéologues. Ce qui pourrait être le tombeau de Romulus, le roi fondateur de Rome, a été présenté pour la première fois au public, faisant remonter la Ville éternelle à ses origines il y a 3.000 ans.

Créer de la viande à partir de quelques cellules n'est plus seulement de la science-fiction: un cosmonaute vient d'en produire à bord de la Station spatiale internationale (ISS). L'arrivée de ces produits dans les supermarchés n'est à priori plus qu'une question d'années.

Les roses d'Equateur se sont apprêtées pour leur plus important défilé de l'année, la Saint-Valentin, où certaines variétés de ces fleurs symboles du romantisme deviennent tendance et d'autres tombent dans l'oubli, comme les modèles des podiums de mode.

Avec sa coupe blonde à la garçonne et son ensemble à fleurs, elle se dandine comme une jeunette d'un pas assuré. A 56 ans, Ma Yinhong prend très à coeur son rôle de mannequin dans un défilé de mode à Shanghai.

Elles sont loin de toutes maîtriser internet sur le bout des doigts, et pourtant, certaines grands-mères russes tentent de vendre via les réseaux sociaux bonnets, chaussettes et écharpes tricotés pour compenser la faiblesse de leurs retraites.