La Ville de Huy a présenté mercredi les six boucs qu'elle a acquis pour mettre en place un éco-pâturage, un mode d'entretien écologique des espaces naturels.
Cette initiative intervient dans le cadre du plan d'action en faveur de l'énergie durable et du climat (PAEDC) de la cité hutoise qui a pour objectifs le maintien d'une flore diversifiée et la diminution de l'empreinte écologique.
Des boucs pour entretenir les espaces naturels? "C'est une façon intelligente d'entretenir les espaces verts de manière durable", souligne Hadrien Housiaux, échevin de l'Environnement. "C'est également l'occasion de faire une économie de temps et de main d'oeuvre."
Les boucs débutent leur nouveau travail ce mercredi, "par le terrain escarpé du fort de Huy, ce qui permettra au service Parcs et Plantations de se consacrer à d'autres tâches. De plus, les boucs accéderont à des endroits où il est difficile de travailler habituellement", poursuit-il.
Arrivés il y a un peu plus d'un mois, les six boucs aideront aussi à l'entretien d'autres propriétés escarpées comme le site des ruines du château du Beaufort et le cimetière de la Buissière. Les zones choisies pour leur passage seront toutes cadrées et clôturées.
Il est prévu que les bêtes arrêtent leur travail à la fin d'année.
Le coût du projet, comprenant l'acquisition des boucs, des fournitures nécessaires à leur installation et à leurs déplacements, et le suivi vétérinaire, est estimé à 7.500 euros.
Cette initiative intervient dans le cadre du plan d'action en faveur de l'énergie durable et du climat (PAEDC) de la cité hutoise qui a pour objectifs le maintien d'une flore diversifiée et la diminution de l'empreinte écologique. Des boucs pour entretenir les espaces naturels? "C'est une façon intelligente d'entretenir les espaces verts de manière durable", souligne Hadrien Housiaux, échevin de l'Environnement. "C'est également l'occasion de faire une économie de temps et de main d'oeuvre."Les boucs débutent leur nouveau travail ce mercredi, "par le terrain escarpé du fort de Huy, ce qui permettra au service Parcs et Plantations de se consacrer à d'autres tâches. De plus, les boucs accéderont à des endroits où il est difficile de travailler habituellement", poursuit-il.Arrivés il y a un peu plus d'un mois, les six boucs aideront aussi à l'entretien d'autres propriétés escarpées comme le site des ruines du château du Beaufort et le cimetière de la Buissière. Les zones choisies pour leur passage seront toutes cadrées et clôturées.Il est prévu que les bêtes arrêtent leur travail à la fin d'année.Le coût du projet, comprenant l'acquisition des boucs, des fournitures nécessaires à leur installation et à leurs déplacements, et le suivi vétérinaire, est estimé à 7.500 euros.
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