L'association des gestionnaires de réseaux électriques européens, ENTSO-E, met en garde, comme l'an dernier, par rapport au risque d'une pénurie d'électricité en Belgique cet hiver en cas de concours de circonstances malheureux, à savoir des températures inférieures à -5°C, un manque de vent et une indisponibilité non programmée de centrales nucléaires.
En revanche, dans des conditions normales, aucun risque ne menace la fourniture d'électricité en Europe cet hiver, souligne ENTSO-E. En cas de circonstances extrêmes, il pourrait en être autrement. Ces circonstances sont un mercure inférieur à -5°C, une production d'énergie éolienne à seulement 30% de la capacité totale et ce, en combinaison avec l'indisponibilité de centrales.
Le gestionnaire du réseau haute tension belge, Elia, relativise l'avertissement d'ENTSO-E et estime que la situation n'est pas comparable avec celle qui prévalait l'année dernière quand la disponibilité des réacteurs nucléaires était réduite à peau de chagrin.
"Il y a beaucoup de si", constate une porte-parole. "Les conditions de marché sont aujourd'hui beaucoup plus favorables que l'année dernière. La disponibilité du parc nucléaire est beaucoup plus élevée et il y a l'interconnexion avec la Grande-Bretagne."
Depuis janvier, un câble sous-marin permet de faire passer jusuqu'à 1.000 MW entre la Belgique et la Grande-Bretagne, ce qui est environ la capacité d'un réacteur nucléaire.
Elia continue à suivre la situation de près mais n'attend pas de problèmes comme ceux redoutés l'an dernier.
En revanche, dans des conditions normales, aucun risque ne menace la fourniture d'électricité en Europe cet hiver, souligne ENTSO-E. En cas de circonstances extrêmes, il pourrait en être autrement. Ces circonstances sont un mercure inférieur à -5°C, une production d'énergie éolienne à seulement 30% de la capacité totale et ce, en combinaison avec l'indisponibilité de centrales.Le gestionnaire du réseau haute tension belge, Elia, relativise l'avertissement d'ENTSO-E et estime que la situation n'est pas comparable avec celle qui prévalait l'année dernière quand la disponibilité des réacteurs nucléaires était réduite à peau de chagrin. "Il y a beaucoup de si", constate une porte-parole. "Les conditions de marché sont aujourd'hui beaucoup plus favorables que l'année dernière. La disponibilité du parc nucléaire est beaucoup plus élevée et il y a l'interconnexion avec la Grande-Bretagne." Depuis janvier, un câble sous-marin permet de faire passer jusuqu'à 1.000 MW entre la Belgique et la Grande-Bretagne, ce qui est environ la capacité d'un réacteur nucléaire. Elia continue à suivre la situation de près mais n'attend pas de problèmes comme ceux redoutés l'an dernier.