Jusqu'à présent, ce traitement n'était réalisé que par une chirurgie thoracique ouverte sur des patients jeunes et en bonne santé, une technique beaucoup plus invasive.

L'intervention s'est déroulée au département de chirurgie vasculaire du centre des maladies cardiaques et vasculaires de l'UZ Brussel.

L'endoprothèse a été déployée par l'artère fémorale, après quoi les branches latérales du tube synthétique ont été étendues par les artères du bras et du cou à l'aide de stents enduits. "Il s'agit d'une opération très délicate, car le risque d'accident vasculaire cérébral est toujours présent", a déclaré le prof. Erik Debing, responsable de la chirurgie vasculaire.

Cette avancée permettrait à des patients en moins bonne forme physique, pour lesquels la chirurgie ouverte n'est pas envisageable, d'être tout de même soignés. L'opération est en effet moins risquée et le temps de récupération est plus court.

Jusqu'à présent, ce traitement n'était réalisé que par une chirurgie thoracique ouverte sur des patients jeunes et en bonne santé, une technique beaucoup plus invasive.L'intervention s'est déroulée au département de chirurgie vasculaire du centre des maladies cardiaques et vasculaires de l'UZ Brussel. L'endoprothèse a été déployée par l'artère fémorale, après quoi les branches latérales du tube synthétique ont été étendues par les artères du bras et du cou à l'aide de stents enduits. "Il s'agit d'une opération très délicate, car le risque d'accident vasculaire cérébral est toujours présent", a déclaré le prof. Erik Debing, responsable de la chirurgie vasculaire.Cette avancée permettrait à des patients en moins bonne forme physique, pour lesquels la chirurgie ouverte n'est pas envisageable, d'être tout de même soignés. L'opération est en effet moins risquée et le temps de récupération est plus court.