"Les Belges prennent encore beaucoup trop d'antidépresseurs alors que cela est loin d'être toujours nécessaire", souligne la ministre de la Santé Maggie De Block dans un communiqué. "Cette recommandation doit permettre de contribuer à la réduction du nombre de prescriptions et de l'utilisation de psychotropes, un objectif qui fait partie de l'accord de gouvernement".

La recommandation est basée sur douze thèmes cliniques, dont le diagnostic, le risque de suicide, le fait de référer le patient, le traitement d'une dépression légère, modérée ou grave, le suivi, la collaboration et les personnes âgées.

De nombreux patients souffrant de dépression doivent prendre des médicaments, alors que cela ne les aide pas, selon Mme De Block. Et parfois, c'est le cas contraire. De plus, les médicaments ne sont pas toujours pris correctement ou la durée du traitement est parfois trop courte. Cette recommandation se concentre notamment sur les différentes possibilités en matière d'approche non médicamenteuse de la dépression.

L'enquête de santé 2013 de l'Institut scientifique de la Santé publique a révélé que 14,8% des personnes de plus de 15 ans avaient eu récemment des sentiments dépressifs. La ministre va libérer 250.000 euros pour pouvoir mettre en pratique cette recommandation

"Les Belges prennent encore beaucoup trop d'antidépresseurs alors que cela est loin d'être toujours nécessaire", souligne la ministre de la Santé Maggie De Block dans un communiqué. "Cette recommandation doit permettre de contribuer à la réduction du nombre de prescriptions et de l'utilisation de psychotropes, un objectif qui fait partie de l'accord de gouvernement". La recommandation est basée sur douze thèmes cliniques, dont le diagnostic, le risque de suicide, le fait de référer le patient, le traitement d'une dépression légère, modérée ou grave, le suivi, la collaboration et les personnes âgées. De nombreux patients souffrant de dépression doivent prendre des médicaments, alors que cela ne les aide pas, selon Mme De Block. Et parfois, c'est le cas contraire. De plus, les médicaments ne sont pas toujours pris correctement ou la durée du traitement est parfois trop courte. Cette recommandation se concentre notamment sur les différentes possibilités en matière d'approche non médicamenteuse de la dépression. L'enquête de santé 2013 de l'Institut scientifique de la Santé publique a révélé que 14,8% des personnes de plus de 15 ans avaient eu récemment des sentiments dépressifs. La ministre va libérer 250.000 euros pour pouvoir mettre en pratique cette recommandation