Dans cette étude, les chercheurs ont défini la dynamique clonale qui mène à l'initiation du cancer de la peau en utilisant comme modèle le carcinome basocellulaire, le cancer le plus fréquent chez l'humain. Ils ont découvert que seules les cellules souches et non les cellules progénitrices (cellule proliférative ayant la capacité de donner naissance à un autre type cellulaire) étaient capables d'initier des tumeurs lors de l'activation d'un oncogène (gène dont l'expression favorise la survenue d'un cancer).

En outre, les chercheurs ont développé un modèle mathématique qui définit pour la première fois, à l'échelle d'une seule cellule, la dynamique quantitative de l'initiation tumorale depuis l'activation de l'oncogène jusqu'au développement de tumeurs invasives.

Les données démontrent que cibler les cellules souches est requis pour la formation de tumeurs. (Belga)

Dans cette étude, les chercheurs ont défini la dynamique clonale qui mène à l'initiation du cancer de la peau en utilisant comme modèle le carcinome basocellulaire, le cancer le plus fréquent chez l'humain. Ils ont découvert que seules les cellules souches et non les cellules progénitrices (cellule proliférative ayant la capacité de donner naissance à un autre type cellulaire) étaient capables d'initier des tumeurs lors de l'activation d'un oncogène (gène dont l'expression favorise la survenue d'un cancer). En outre, les chercheurs ont développé un modèle mathématique qui définit pour la première fois, à l'échelle d'une seule cellule, la dynamique quantitative de l'initiation tumorale depuis l'activation de l'oncogène jusqu'au développement de tumeurs invasives. Les données démontrent que cibler les cellules souches est requis pour la formation de tumeurs. (Belga)