Le cancer colorectal -ou du gros intestin- concerne 8.700 personnes en plus chaque année, faisant de cette maladie l'un des cancers les plus fréquents en Belgique.

Il s'agit d'un projet-pilote qui, outre les parties prenantes que sont la Cocof, la Cocom et la communauté flamande, impliquera en première ligne les pharmaciens et Brumammo, laquelle dispose déjà d'un savoir-faire en matière de dépistage du cancer du sein.

L'objectif est d'arriver d'ici trois ans à un taux de dépistage de 25% et de diminuer ainsi de 15% à 20% les chiffres de mortalité liée à ce type de cancer (3.000 décès chaque année actuellement).

"Concrètement, les Bruxellois âgés de 50 à 74 ans recevront une lettre d'invitation pour se rendre en pharmacie chercher leur test, lequel est à réaliser chez soi", explique le docteur Jean-Benoît Burion de l'asbl Brumammo. "Un fois fait, l'échantillon est envoyé en analyse et le patient sera tenu au courant dans les deux semaines du résultat de celui-ci".

Le cancer colorectal -ou du gros intestin- concerne 8.700 personnes en plus chaque année, faisant de cette maladie l'un des cancers les plus fréquents en Belgique.Il s'agit d'un projet-pilote qui, outre les parties prenantes que sont la Cocof, la Cocom et la communauté flamande, impliquera en première ligne les pharmaciens et Brumammo, laquelle dispose déjà d'un savoir-faire en matière de dépistage du cancer du sein. L'objectif est d'arriver d'ici trois ans à un taux de dépistage de 25% et de diminuer ainsi de 15% à 20% les chiffres de mortalité liée à ce type de cancer (3.000 décès chaque année actuellement). "Concrètement, les Bruxellois âgés de 50 à 74 ans recevront une lettre d'invitation pour se rendre en pharmacie chercher leur test, lequel est à réaliser chez soi", explique le docteur Jean-Benoît Burion de l'asbl Brumammo. "Un fois fait, l'échantillon est envoyé en analyse et le patient sera tenu au courant dans les deux semaines du résultat de celui-ci".