Alors que les appareils connectés prennent de plus en plus de place dans les foyers, près de la moitié (45%) des ménages recherchent à passer "des temps d'arrêt numérique", ressort-il d'une étude d'EY (Ernst & Young) menée auprès de 2.500 consommateurs.
Bien que 53% des répondants estiment qu'internet est "une nécessité absolue pour leur vie sociale" et tout autant (47%) que c'est un outil très important "en termes de travail à domicile ou de gestion d'une entreprise depuis leur domicile", plus de trois quarts (77%) d'entre eux font aussi part de préoccupations quant au respect de la vie privée.
Autre constat: la moitié des ménages passent davantage de temps sur internet que devant la télévision, et près de 70% des répondants indiquent y passer plus de 10 heures chaque semaine.
Mais de plus en plus de consommateurs belges se disent parallèlement inquiets de l'impact du numérique sur leur vie de famille, ressort-il de l'étude, avec 45% des ménages favorables à une "cure détox" loin des smartphones et appareils connectés. Les personnes recherchant ces "temps d'arrêt" sont principalement (48%) les consommateurs âgés de 45 à 54 ans et les plus de 65 ans (47%).
Les résultats belges sur ce point contrastent avec ceux notés en France et aux Pays-Bas, où ce sont davantage les jeunes qui souhaitent passer du temps loin de leurs smartphones, conclut EY.
Bien que 53% des répondants estiment qu'internet est "une nécessité absolue pour leur vie sociale" et tout autant (47%) que c'est un outil très important "en termes de travail à domicile ou de gestion d'une entreprise depuis leur domicile", plus de trois quarts (77%) d'entre eux font aussi part de préoccupations quant au respect de la vie privée. Autre constat: la moitié des ménages passent davantage de temps sur internet que devant la télévision, et près de 70% des répondants indiquent y passer plus de 10 heures chaque semaine. Mais de plus en plus de consommateurs belges se disent parallèlement inquiets de l'impact du numérique sur leur vie de famille, ressort-il de l'étude, avec 45% des ménages favorables à une "cure détox" loin des smartphones et appareils connectés. Les personnes recherchant ces "temps d'arrêt" sont principalement (48%) les consommateurs âgés de 45 à 54 ans et les plus de 65 ans (47%). Les résultats belges sur ce point contrastent avec ceux notés en France et aux Pays-Bas, où ce sont davantage les jeunes qui souhaitent passer du temps loin de leurs smartphones, conclut EY.