Les sites internet doivent informer leurs visiteurs des conséquences de l'usage du bouton "j'aime" de Facebook. Ainsi, ils doivent préciser explicitement que le réseau social peut lire des cookies qu'il place sur les ordinateurs. Ceux qui ne le font pas risquent des amendes, prévient David Stevens, le nouveau président de l'Autorité de protection des données (ex-Commission vie privée).

A la demande de Knack, le groupe de recherche sur la sécurité informatique et la cryptographie industrielle (COSIC) de la KU Leuven a compté durant le mois de septembre le nombre de sites internet belges qui proposent le bouton "j'aime" de Facebook: 682. Knack a ensuite regardé en détail la politique de confidentialité et de gestion des cookies de 200 d'entre eux. Il en est ressorti que 4 sur 5 ne signalent pas du tout qu'ils envoient des données à Facebook, ce qui est illégal.

Ce qui est particulièrement interpellant, c'est que même des sites officiels des autorités belges violent les règles. C'est le cas de 112.be, un site des Affaires intérieures, ou trafiroutes.wallonie.be, un site de la Région wallonne. Les sites des communes de Mons en Wallonie ou Berlare en Flandre, celui du musée gallo-romain de Tongres ou encore code-de-la-route.be de l'Institut Vias contreviennent également aux règles.

Les sites internet doivent informer leurs visiteurs des conséquences de l'usage du bouton "j'aime" de Facebook. Ainsi, ils doivent préciser explicitement que le réseau social peut lire des cookies qu'il place sur les ordinateurs. Ceux qui ne le font pas risquent des amendes, prévient David Stevens, le nouveau président de l'Autorité de protection des données (ex-Commission vie privée). A la demande de Knack, le groupe de recherche sur la sécurité informatique et la cryptographie industrielle (COSIC) de la KU Leuven a compté durant le mois de septembre le nombre de sites internet belges qui proposent le bouton "j'aime" de Facebook: 682. Knack a ensuite regardé en détail la politique de confidentialité et de gestion des cookies de 200 d'entre eux. Il en est ressorti que 4 sur 5 ne signalent pas du tout qu'ils envoient des données à Facebook, ce qui est illégal.Ce qui est particulièrement interpellant, c'est que même des sites officiels des autorités belges violent les règles. C'est le cas de 112.be, un site des Affaires intérieures, ou trafiroutes.wallonie.be, un site de la Région wallonne. Les sites des communes de Mons en Wallonie ou Berlare en Flandre, celui du musée gallo-romain de Tongres ou encore code-de-la-route.be de l'Institut Vias contreviennent également aux règles.