Rien ne remplace une présence réelle

Mes six petits-enfants me manquent vraiment beaucoup en cette période de (dé)confinement. Les deux « grandes » venaient chez nous tous les mercredis, et j’adorais leurs confidences et leurs câlins. Âgée de plus de soixante-cinq ans et vivant avec un mari de santé fragile, je ne peux plus les revoir ni garder les plus jeunes. Bien sûr, il y a Skype et FaceTime, mais aucune vidéo ne peut remplacer une présence réelle.

Depuis le déconfinement, j’en ai revu certains, toujours dehors et avec la distance dite sociale. Un mieux, certes, mais les contacts sont plus rares et moins spontanés qu’avant. Dur dur, de ne pas pouvoir les embrasser... Et pour combien de temps encore ?

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