Moins, mais mieux

Mon épouse et moi n’avons pas l’intention de devenir végétariens et encore moins végétaliens. Ceci dit, nous avons pris pour habitude de ne plus mettre la viande au menu tous les jours : depuis toujours, nous mettons au moins une fois par semaine des oeufs au menu (quiche, omelette...) et, depuis quelques années, nous faisons de temps à autre une soupe-repas avec du fromage, une salade mêlant légumineuses et légumes ou d’autres alternatives. C’est un choix économique (par exemple les lentilles ou les poix chiches sont très abordables et rassasiants), sain et cela permet de garder du budget pour de la viande de meilleure qualité. Nous ne l’achetons plus en grande surface mais chez un artisan boucher qui choisit lui-même ses bêtes. Ces animaux ne proviennent pas d’élevage intensif et sont plus heureux, pas nourris aux antibiotiques ou aux farines douteuses. Nous n’enrichissons plus de multinationales et le goût est bien meilleur. C’est une question de respect pour l’environnement, la société et le futur. Au final on peut dire que nous consommons moins de viande mais mieux.