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Manger moins contre la démence

Limiter son apport calorique permettrait de ralentir le processus de vieillissement du cerveau. C’est la piste prometteuse qu’étudient des spécialistes de l’Université d’Anvers. Une telle mesure aurait aussi une influence positive sur les réseaux cérébraux qui influencent l’Alzheimer et d’autres formes de dégénérescence. Mais manger (beaucoup) moins n’est pas sans inconvénients. C’est pourquoi on cherche à limiter les éventuelles carences vitaminiques et autres par des compléments alimentaires et des médicaments.

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