Le tricot, remède à la morosité

Je me reconnais dans l’article sur le tricot (PM n°379): j’appartiens à la génération où le tricot, le crochet et autres travaux d’aiguilles dispensés à l’école primaire étaient obligatoires. Et cela ne me plaisait pas! Plus tard, j’ai tricoté la layette de mon aînée et j’y ai pris goût! Faute de temps, j’ai arrêté. Avec les contraintes du confinement, je m’y suis remise. Le tricot demande de la concentration et procure de la motivation pour réaliser des ouvrages. Grace à cette activité manuelle, les idées noires s’envolent.

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