Être paf

On le dit encore parfois : il est paf ! Ce qui veut dire qu’il est soûl. Il s’agit de l’abréviation du participe passé du verbe « paffer ». Au XVIIIe siècle, le verbe se traduit par enivrer. On pouvait dire aussi s’empaffer, se paffer, soit s’enivrer. Certains ajoutent que le « paf » désigna longtemps toute boisson alcoolisée. Se paffer est alors : se remplir de paf, d’alcool.

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