Dormir avant de conduire !

Une étude californienne menée sur des épileptiques à l’aide d’électrodes implantées dans le cerveau a démontré que plus les participants étaient fatigués, plus leurs neurones travaillaient au ralenti (la transmission de l’information d’un neurone à l’autre prenait plus de temps). La preuve que le manque de sommeil interfère avec la capacité du cerveau à transformer une information visuelle en pensée consciente. « L’acte de voir un piéton est ralenti dans le cerveau d’un conducteur fatigué, explique le Dr Itzhak Fried qui a coordonné l’étude. Il faut plus de temps à son cerveau pour enregistrer ce qu’il perçoit. « 

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