© GETTYIMAGES

BURN-OUT DES PENSIONNÉS

Merci, Madame Vanderdonckt d’avoir mis un nom et d’avoir reconnu publiquement le mal-être chronique dont je  » souffre  » depuis quelques années, à savoir, le burn-out des pensionnés (ou travailleurs) [PM n°359]. En prendre conscience m’a enfin donné l’occasion de faire la-crise-de-ma-vie et de me décharger du trop plein accumulé. Je me sens, peut-être, déjà un peu mieux... On souffre de trop aimer, de trop donner ! Continuez. J’aime beaucoup votre magazine.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire