Bons plans resto !

Les Français ont un nom pour désigner ce genre de bistro populaire : bistro canaille ou encore troquet. Le Damoiselle fait partie de ces petits bistros bars familiaux où l'amitié a encore un sens. Dans une déco qui met directement à l'aise, on se délecte de plats simples et chaleureux, servis en toute simplicité, à un prix raisonnable. Pauline ou Mathias vous accueillent à bras ouverts. Ils sont français, comme leurs plats de saison. L'établissement haut en couleur a une histoire à raconter. Le lunch deux services (14 ?) et trois services (19,50 ?) offrent le meilleur rapport qualité-prix de la capitale. Les entrées à la carte sont affichées à partir de 5,50 ?, 17 ? pour les plats et l5,50 ? pour les desserts. Nous avons goûté la terrine de jambonneau aux herbes fraîches et pickles de saison, avant d'attaquer la bavette d'aloyau sauce au porto, pommes de terre confites (+ 2 ?), au goût incomparable.Envie d'une bonne surprise culinaire? Rendez-vous à La Ligne Rouge qui a ouvert à Lasne il y a deux ans. Le rouge rehausse le gris taupe des salles à manger. La terrasse, elle, offre une vue imprenable sur un magnifique écrin de verdure. La carte, plutôt courte, fait la part belle aux menus (à partir de 52 ?, lunch à partir de 30 et 35 ?). La carte des vins propose une sélection d'une vingtaine de vins au verre et quelques grands crus en bouteille de France et d'Italie. La Ligne Rouge doit son succès aux talents culinaires de Benjamin Laborie, le chef cuisinier français qui a fait ses armes auprès de grands chefs de l'Hexagone comme Michel Guérard et Michel Bras. Le menu cinq services (78 ?) est un feu d'artifice de créativité. Les langoustines à la nage servies dans un consommé de crustacés sont inoubliables. L'équilibre sucré-salé du dessert à la crème glacée de truffe, mousse de vanille, ganache de chocolat et meringue à la poudre de bolet était tout aussi bluffant !Chocolate Nation, the Belgian chocolate experience est le plus grand musée consacré au chocolat. Il compte pas moins de 14 salles thématiques qui permettent de découvrir le monde du chocolat. À côté du musée, le bar-restaurant est accessible depuis la rue et le hall d'entrée central. Le nom du restaurant, Octave, est un hommage à Octave Callebaut, fondateur de la célèbre marque de chocolat. Thomas de Weyer, reconnaissable à sa longue barbe et à ses tatouages, est aux commandes des cuisines. Ce chef créatif qui a fait ses gammes chez Sergio Herman est assisté par Patrick Aubrian, ancien bras droit du maître chocolatier Pierre Marcolini. Octave propose une carte de spécialités belges aux arômes chocolatés. Après avoir grignoté du pain au chocolat, nous nous sommes délectés d'une blanquette de veau au subtil parfum cacaoté (24 ?) avant de finir en beauté avec une dame blanche, magnifiée par des éclats de fève de cacao (8 ?).