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Adieu, maison

Merci Madame Vanderdonckt pour votre éditorial de ce mois de novembre (PM n°375). Je suis loin d’être coutumière d’une réaction envers la presse, juste que ce dernier m’a touchée et m’a permis de mettre des mots sur ce que j’ai ressenti lors de la vente de notre maison familiale. Aînée d’une fratrie, je suis la seule à avoir ressenti une profonde tristesse face à cette « fin de vie » de la maison. Cela fait deux ans maintenant et je suis toujours dans le regret de ce fait. Votre écrit m’aide à mieux comprendre les sentiments qui m’habitent encore aujourd’hui.

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