Le peigne de Cléopâtre de Maria Ernestam

Virée, Maria vient de se faire virer. C’est trop injuste mais quand on fait de l’ombre à son patron les choses ne tournent pas toujours à votre avantage. Avec trois vieux amis, elle décide de créer sa propre société.

Ce sera une entreprise pas comme les autres qui sera au service des gens dans le seul but de résoudre tous leurs problèmes. Maria, Anna et Fredrik vont unir leurs divers talents pour lancer  » Le peigne de Cléopâtre « , PME au service de Monsieur et Madame tout-le-monde.

Nos trois amis piétinent quelque peu dans leur propre existence. Ils sont en quête d’identité ou d’âme soeur, et trouve un réconfort non négligeable dans l’idée d’aider leur prochain. Les demandent ne manquent pas jusqu’au jour où une vieille dame maltraitée depuis toujours se présente avec une étrange requête : elle souhaite que  » Le peigne de Cléopâtre  » élimine son mari.

Il est évidement moralement impossible d’accéder à cette requête. Mais à la surprise générale, peu de temps après, elle vient les remercier en leur versant comme promis une grosse somme d’argent. Son mari est enfin décédé. Qui a commis le crime ? Et si le mari était mort de mort naturelle ?
Le bouche à oreille fonctionne, les demandes se suivent et la mort frappe de nouveau. Qui s’est donc transformé en justicier ?

Maria Ernestam nous livre un roman passionnant plein de rebondissements. A la fois polar et roman psychologique, elle nous prend par la main et nous entraîne dans cette aventure surprenante qui nous tient en haleine de bout en bout.

« Le peigne de Cléopâtre », de Maria Ernestam, traduit du suédois par Esther Sermage et Ophélie Alegre, Gaïa,

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