Ce sondage confirme que les 50+ ont intégré l'idée qu'ils devront travailler plus longtemps. Seules 9,3% des personnes interrogées pensent encore aujourd'hui prendre leur pension avant 60 ans. Alors qu'elles étaient 15% il y a cinq ans. Mais 33,5% ne se voient pas travailler jusque 65 ans. Avec une différence marquée entre les francophones et les néerlandophones, 40% des francophones pensant travailler jusqu'à 65 ans ou plus, pour 31% des néerlandophones.

Comment voient-ils leur fin de carrière ? 38% espèrent passer à un temps partiel ou recourir au système de crédit-temps. Ce qui plaide une fois de plus en faveur du crédit-temps comme mesure pour maintenir les 50+ au travail. 33% déclarent vouloir prester jusqu'au dernier jour.

Et puis, un jour, la pension ! La tendance se confirme : la pension n'est plus vue comme une fin, mais comme le départ pour une nouvelle vie (72%). Et cela, cela se fête affirment 51% des sondés. Comment ? La moitié (49%) plébiscite le dîner avec les amis et/ou la famille. 28% fêteront l'événement avec quelques collègues de prédilection. Seuls 3% rêvent de dire enfin ce qu'ils ont sur le coeur !

Le cadeau idéal ? Rien d'étonnant si le voyage (30%) et l'escapade d'un week-end se classent en haut du hit-parade... La pension est synonyme de liberté retrouvée et les voyages sont le symbole de cette liberté. Les cadeaux les moins appréciés sont ceux qui sont impersonnels, parmi lesquels un iPad (11%) ou des outils de jardinage (13%). Ceci même alors que le jardinage figure en bonne place parmi les projets des futurs pensionnés (54%). Au même titre que les travaux de rénovation chez soi (63%), le bénévolat (57%) ou le fait de s'occuper de ses petits-enfants (55%). Les voyages lointains (47%) et les cours de langue (42%), également au rang des grands projets, viennent parfaire l'image d'une pension résolument active. Une pension qui permettra de mieux profiter de la vie (64%) et d'avoir plus de temps pour soi (63%).

Si 53% des personnes interrogées comptent continuer à travailler après la pension (dont 30,7% en tant que bénévoles), c'est moins pour des raisons financières (26%) que pour garder un contact social (65%). En revanche, ce qui fait peur, c'est moins la solitude (17%) que la maladie et la déchéance (54%), la perte des facultés mentales (30%) ou de se voir accoler l'étiquette de " vieux " (26%).

En fait, un grand nombre des angoisses qui tournent autour du statut de pensionné relève du regard des autres. Si les 50+ ne se sentent pas vieux, ils craignent d'être perçus ainsi par les autres. Pour ce qui concerne les finances, 38% à peine des personnes interrogées bénéficient d'une assurance groupe. Mais 78% font une épargne pension individuelle. Vous trouverez les résultats complets de cette enquête, assortis de commentaires de spécialistes, dans le numéro de décembre de Plus Magazine à paraître ce 18 novembre.

Ce sondage confirme que les 50+ ont intégré l'idée qu'ils devront travailler plus longtemps. Seules 9,3% des personnes interrogées pensent encore aujourd'hui prendre leur pension avant 60 ans. Alors qu'elles étaient 15% il y a cinq ans. Mais 33,5% ne se voient pas travailler jusque 65 ans. Avec une différence marquée entre les francophones et les néerlandophones, 40% des francophones pensant travailler jusqu'à 65 ans ou plus, pour 31% des néerlandophones. Comment voient-ils leur fin de carrière ? 38% espèrent passer à un temps partiel ou recourir au système de crédit-temps. Ce qui plaide une fois de plus en faveur du crédit-temps comme mesure pour maintenir les 50+ au travail. 33% déclarent vouloir prester jusqu'au dernier jour. Et puis, un jour, la pension ! La tendance se confirme : la pension n'est plus vue comme une fin, mais comme le départ pour une nouvelle vie (72%). Et cela, cela se fête affirment 51% des sondés. Comment ? La moitié (49%) plébiscite le dîner avec les amis et/ou la famille. 28% fêteront l'événement avec quelques collègues de prédilection. Seuls 3% rêvent de dire enfin ce qu'ils ont sur le coeur ! Le cadeau idéal ? Rien d'étonnant si le voyage (30%) et l'escapade d'un week-end se classent en haut du hit-parade... La pension est synonyme de liberté retrouvée et les voyages sont le symbole de cette liberté. Les cadeaux les moins appréciés sont ceux qui sont impersonnels, parmi lesquels un iPad (11%) ou des outils de jardinage (13%). Ceci même alors que le jardinage figure en bonne place parmi les projets des futurs pensionnés (54%). Au même titre que les travaux de rénovation chez soi (63%), le bénévolat (57%) ou le fait de s'occuper de ses petits-enfants (55%). Les voyages lointains (47%) et les cours de langue (42%), également au rang des grands projets, viennent parfaire l'image d'une pension résolument active. Une pension qui permettra de mieux profiter de la vie (64%) et d'avoir plus de temps pour soi (63%). Si 53% des personnes interrogées comptent continuer à travailler après la pension (dont 30,7% en tant que bénévoles), c'est moins pour des raisons financières (26%) que pour garder un contact social (65%). En revanche, ce qui fait peur, c'est moins la solitude (17%) que la maladie et la déchéance (54%), la perte des facultés mentales (30%) ou de se voir accoler l'étiquette de " vieux " (26%). En fait, un grand nombre des angoisses qui tournent autour du statut de pensionné relève du regard des autres. Si les 50+ ne se sentent pas vieux, ils craignent d'être perçus ainsi par les autres. Pour ce qui concerne les finances, 38% à peine des personnes interrogées bénéficient d'une assurance groupe. Mais 78% font une épargne pension individuelle. Vous trouverez les résultats complets de cette enquête, assortis de commentaires de spécialistes, dans le numéro de décembre de Plus Magazine à paraître ce 18 novembre.