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La viande sans aberrations

Mon compagnon et moi-même (65 et 66 ans) consommons peu de viande par rapport à la moyenne belge. Notre consommation se limite à du poulet, du jambon, de la viande hachée pour la bolo... Rarement de la viande rouge. Nous consommons aussi du poisson. Les scandales alimentaires, évidemment intolérables, n’ont que peu à voir avec ces habitudes. C’est plutôt une question de goût. Mais depuis quelques années, nous nous préoccupons davantage de la survie de la planète et des populations qui la peuplent. Quand connaît les besoins en eau et en nourriture pour l’élevage des bovins par exemple, on en vient à souhaiter la disparition des élevages au profit de la production de nourriture végétale accessible à tous. Cependant, pour des questions gastronomiques nous ne sommes pas prêts à abandonner tout à fait la viande. J’ai fait quelques essais de substituts qui ne m’ont pas convaincue mais je continue à explorer de nouveaux produits. Quant à la provenance, je n’y fais pas trop attention mais j’achète belge afin de limiter mon empreinte écologique (c’est le cas aussi pour d’autres produits que la viande). Acheter du boeuf argentin ou des crevettes épluchées au Maroc sont pour moi des aberrations.

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